Valérie Trierweiler : ses premiers mots
Après une semaine d'hospitalisation à la suite des révélations de Closer sur une liaison entre le Président et l'actrice Julie Gayet, Valérie Trierweiler n'est pas retournée à l'Elysée...
La première dame a quitté samedi, en milieu d'après-midi, l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (13e arrondissement), a révélé sur son site Paris-Match qui emploie la compagne du chef de l'Etat. "Comme elle le souhaitait", précise le magazine, Valérie Trierweiler s'est rendue directement à La Lanterne, résidence officielle de la République (et des premières amours de Carla Bruni et Nicolas Sarkozy) en lisière du parc du château de Versailles. Toujours selon l'hebdomadaire, elle devrait y passer "quelques jours" pour "prendre du repos et rester au calme". C'est dans ce lieu de villégiature plutôt qu'au Fort de Brégançon que François Hollande avait passé ses congés d'été.
Vers 20h30, la journaliste effectuait son retour sur les réseaux sociaux. "Merci du fond du coeur à tous ceux qui ont envoyé des messages de soutien et de rétablissement via twitter, SMS ou courriels. Très touchée", postait-elle sur son compte, visiblement émue.
La veille, le Président s'était (enfin) rendu à son chevet. Samedi, il est retourné sur ses terres, en Corrèze, pour présenter ses voeux. Ce lundi, il effectue son premier déplacement à l'étranger depuis le " Gayetgate", et c'est seul -enfin non accompagné-, qu'il voyage aux Pays-Bas.
Lors de sa conférence de presse, François Hollande s'était refusé à tout commentaire, évoquant des "moments douloureux" traversés par son couple. Selon un sondage BVA pour i>Télé, 75% des Français jugent que François Hollande a eu raison de refuser de répondre aux questions sur sa vie privée et 62% estiment que sa relation adultère supposée est une affaire privée qui ne regarde que lui.
Le chef de l'Etat s'est néanmoins engagé à clarifier sa situation conjugale avant sa visite aux Etats-Unis, qui débutera le11 février.