Flop : Carla Bruni-Sarkozy, laissez-la chanter...

Carla Bruni-Sarkozy, le 13 février 2013, a San Remo

Carla Bruni-Sarkozy aimerait bien parler de son album, Little French Songs, mais il n'y en a que pour la mise en examen de Nicolas Sarkozy et son "abus de faiblesse" vis-à-vis de Liliane Bettencourt.
La voix tremblante, l'ex-première dame conjugue donc promotion et soutien sans faille à son mari : Dans Le Parisien, elle confie: "J'ai vraiment du mal à en parler... C'est douloureux d'en parler et aussi douloureux de ne pas en parler. C'est douloureux pour la famille (elle essuie une larme). Pardonnez-moi... (...) Ce que je peux vous dire c'est que c'est impensable d'imaginer qu'un homme comme lui puisse abuser de la faiblesse d'une dame qui a l'âge de sa mère".
Des propos qu'elle répète au micro de RTL, en retenant ses sanglots, "C'est tellement inimaginable (...) je ne sais pas comment vous dire, c'est impensable. Je ne veux plus en parler...".
Et au Figaro : "Ma famille et moi, nous le vivons comme une épreuve très douloureuse. C'est très difficile de ne pas en parler mais c'est tout aussi difficile d'en parler. J'enrage de ne pas pouvoir m'exprimer". Si l'émotion et la tristesse de Carla Bruni-Sarkozy sont réelles, difficile de ne pas voir là une stratégie de communication.

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