Top : Valérie Trierweiler, impeccable au Grand Journal

Valérie Trierweiler, impeccable au Grand Journal. Photographiée ici à Angers le 8 décembre 2012

Examen réussi. Tailleur-pantalon bleu marine et chemisier rose, la nouvelle maîtresse de l'Elysée s'est montrée modeste, discrète et bonne communicante sur le plateau de Michel Denisot, jeudi soir sur Canal +, où elle était invitée à parler de son combat en faveur des enfants victimes de la Trisomie 21.
Valérie Trierweiler est revenue sur ses premiers mois de première dame: "Au début, je n'avais pas compris que je n'étais plus une citoyenne normale, que si je disais quelque chose, cela donnait à mes propos une portée que je ne mesurais pas. Je suis plus prudente".
Et les attaques dont elle fait l'objet ? "Il  y a des rumeurs nouvelles tous les jours. Si on lit tout ce qu'il y a sur le Net, tous les jours le président et moi nous nous séparons, il paraît que j'ai un fils en prison au Canada. C'est vrai qu'au début tout ça, ça touche et puis on apprend... pas tout à fait à en rigoler mais à vivre avec (...) J'ai remplacé la lecture des journaux par le sport et je vais beaucoup mieux."
Interrogée sur la chanson de Carla Bruni Le Pingouin, dont on dit qu'elle évoque François Hollande, Valérie Trierweiler a déclaré: "Je crois Carla Bruni lorsqu'elle dit que ce n'est pas une allusion au président. Carla Bruni est une femme sincère."
Et la passation de pouvoir ? "Elle s'est bien passée. Regardez ! On s'embrasse !", a-t-elle commenté les images du magnéto. "Il avait un programme très chargé", c'est pour cela que François Hollande n'a pas raccompagné Nicolas Sarkozy à sa voiture.
Après quelques faux pas, la compagne du Président a su imposer une stature politiquement (très) correcte.

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