Clara Morgane et l'éducation de sa fille : "Elle sait très bien qui je suis"
Invitée sur RTL, Clara Morgane a accepté d'évoquer sa vie de maman. L'occasion de se livrer sur la manière dont elle aborde avec sa fille quelques questions très épineuses.
Clara Morgane a profité de son passage sur RTL pour répondre à toutes les questions de l'animateur Éric Dussart. La maîtresse de cérémonie d'un spectacle de cabaret qui porte son nom a notamment évoqué la manière dont elle aborde les questions liées à l'intimité avec sa fille.
"J'ai toujours mis un point d'honneur à répondre à toutes les questions"
Aujourd'hui âgée de 44 ans, Clara Morgane ne cache rien de son passé dans l'univers des films pour adultes et sa connaissance de la sexualité lui sert pour répondre aux interrogations potentielles de sa fille, pré-adolescente. "J'ai toujours mis un point d'honneur à répondre à toutes les questions, aussi particulières qu'elles soient", a-t-elle affirmé.
Mais, pour l'heure, sa fille n'a que 9 ans et ne semble pas encore avoir besoin de demander à sa célèbre maman des choses sur la vie intime. "Mais bon, ma fille n'est pas très intéressée par le sujet", a assuré Clara Morgane, qui est mariée au discret Jérémy Olivier. Connue pour ses calendriers sexy et ses photos en lingerie, la belle blonde assume pleinement son image de femme libre et sensuelle. Et qu'en pense sa fille ? "Elle n'aime pas spécialement ça. Et en même temps, elle ne juge pas non plus."
Clara Morgane franche avec sa fille sur son passé : "Elle sait très bien qui je suis"
Et face aux critiques de ses détracteurs, qui estiment que la découverte de son passé pourrait choquer sa fille, Clara Morgane répond avec fermeté : "Vous pensez vraiment qu'à 15 ans ma fille va me rencontrer ? Elle sait très bien qui je suis, l'esprit que j'ai, la femme que je suis et qui assume tout : son passé, son présent et son éventuel futur", a-t-elle affirmé, balayant ainsi l'idée d'un "choc" tardif.
Pour elle, l'essentiel est justement de briser le silence autour de la sexualité. "Mais en tout cas je pense que le pire à faire c'est ce qu'ont fait nos parents et c'est ce qui nous a poussé dans nos retranchements. C'est de dire que c'est tabou, mettre un problème là où il n'y en a pas (...) Et les enfants ont des questions auxquelles il faut répondre", a-t-elle ajouté.