"Une fin cruelle" pour William Leymergie : la fille de Sophie Davant en dit plus

Il y a quelques semaines, les journalistes et animateurs de C8 disaient adieu à leurs programmes, arrêtés après le départ de la chaîne de la grille TNT. Un coup dur sur lequel a accepté de revenir Valentine Sled, la fille de Sophie Davant et Pierre Sled, dans les colonnes de France Dimanche. L'occasion pour celle qui marche dans les pas de ses parents de rendre hommage à celui dont sa mère est finalement tombée amoureuse, William Leymergie. 

"Une fin cruelle" pour William Leymergie : Valentine Sled remontée après l'arrêt de William à midi 

Du haut de ses 29 ans, Valentine Sled a plus d'une corde à son arc. Elle a donc su rebondir après la disparition de William à midi, ancienne émission de William Leymergie pour laquelle elle était chroniqueuse. Devenue présentatrice de Le goût des rencontres sur France 3 Nouvelle-Aquitaine, la journaliste a tenu à rendre hommage à celui qui lui a donné sa chance : son beau-père. "C'est William qui m'a donné l'occasion d'apparaître pour la première fois à l'antenne, de surcroît en direct. Quelle école !", a d'abord raconté la soeur de Nicolas. 

Avant de revenir avec amertume sur la fin de ladite émission : "L'arrêt de l'émission m'a bien sûr attristée, tout comme le reste de l'équipe. Surtout pour William qui a quand même plus de quarante ans de carrière. C'est une fin cruelle pour lui…". 

William Leymergie, "pape du direct à la télévision" : les éloges de sa belle-fille Valentine Sled

Dans la foulée, Valentine Sled en a profité pour revenir plus longuement sur les rapports qu'elle entretient avec le compagnon de sa célèbre mère, Sophie Davant. "Quelle chance j'ai eue de pouvoir évoluer à ses côtés pour la première fois en direct (…) William m'a beaucoup appris en si peu de temps. J'avais pleinement confiance en lui, j'écoutais tous ses conseils que j'essayais d'appliquer au mieux. Il a lancé tant d'animateurs et de chroniqueurs… Il restera pour moi le pape du direct à la télévision !", a-t-elle lancé à nos confrères. 

Interrogée sur le poids de la carrière de ses parents sur la sienne, la jeune femme n'a pas hésité : "Je me souviens de ce que m'a dit un jour un réalisateur : 'ce n'est pas facile d'être le fils ou la fille de parce qu'on subit un effet loupe'. C'est-à-dire qu'on va regarder en plus gros ce que l'on fait (…) Si on fait mal, on ne va pas nous louper". Et à elle de conclure : "Il y a donc toujours cette épée de Damoclès au-dessus de ma tête. Il ne faut vraiment pas que je me plante… Mais je ne vais pas non plus me plaindre, j'ai aussi eu des opportunités grâce à ça. Je dois être à la hauteur !"