Valérie Trierweiler : "A l'Elysée, je partais avec un sérieux handicap" (EXCLU) - découvrez le podcast "Premières dames"

Valérie Trierweiler : "A l'Elysée, je partais avec un sérieux handicap" (EXCLU) - découvrez le podcast "Premières dames"

Valérie Trierweiler est aux commandes de "Premières dames", une série de podcasts passionnante qui relate les parcours de cinq Premières dames ayant changé le cours de l'Histoire. La journaliste de 58 ans s'est livrée pour l'occasion au "Journal des Femmes" sur sa vie à l'Elysée, ses regrets, son image de Première dame "froide"... Confidences.

Valérie Trierweiler raconte les parcours atypiques de cinq Premières dames qui ont marqué l'Histoire, dans une passionnante série de podcasts, Premières dames, en partenariat avec le Journal des Femmes et Podcast Story. En tant qu'ex-Première dame, la journaliste a un point de vue tout à fait particulier qui lui permet de raconter les destins hors du commun de ces femmes avec empathie, passion et compassion. 

A cette occasion, Valérie Trierweiler s'est confiée en interview vidéo au Journal des Femmes et a notamment évoqué sa période passée à l'Elysée, qui fut courte, mais mémorable.

Le Journal des Femmes : Y'a-t-il des choses que vous auriez faites différemment lors de votre période à l'Elysée ? Avez-vous des regrets ?
Valérie Trierweiler :
Il y a plein de choses que j'aurais faites différemment. D'abord, je n'ai pas voulu envisager l'élection de François Hollande tant que cela n'était pas arrivé. Je ne voulais pas me projeter, donc il m'a fallu du temps pour m'acclimater, et puis les choses ont été plus compliquées pour moi. Bien sûr, j'ai regretté mon fameux tweet, je ne le referais pas. Et je pense que ma fonction de journaliste m'a empêchée de me glisser véritablement dans la peau d'une Première dame, car je suis restée une simple spectatrice. Enfin, je partais avec un très sérieux handicap : nous n'étions pas mariés et, aux yeux de certains Français, je n'étais pas complètement validée en tant que Première dame.

Parmi tous les préjugés qui ont circulé sur vous, lequel vous a particulièrement blessée ?
Valérie Trierweiler :
Ce qui m'a blessée, c'est que l'on me fasse passer pour une arriviste qui rêvait d'être à l'Elysée parce que ce n'était absolument pas le cas. Quand j'en suis partie, ce n'est pas ce que j'ai regretté. Je n'ai pas besoin des attributs du pouvoir pour vivre, cela a duré vingt mois dans ma vie, j'avais une vie avant et j'ai eu une vie après… et j'aime beaucoup la liberté.

"Je suis sans doute un peu dure"

Cette image qui vous a collé à la peau de Première dame un peu froide, est-elle fausse ?
Valérie Trierweiler :
Non, elle est vraie. Je suis sans doute un peu dure, mais c'est difficile d'être chaleureuse avec tout le monde. Vous savez, j'étais surtout sur mes gardes ! Cela donne une certaine impression. Et j'ai été élevée comme ça, on ne montrait pas ses sentiments à chaque instant, donc j'essaye de m'améliorer !

Vous avez connu une sortie de l'Elysée précoce, atypique et violente. Comment se reconstruit-on après l'épreuve que vous avez vécue ?
Valérie Trierweiler :
J'avance, peut-être que c'est mon côté "bon petit soldat". C'était une épreuve, mais ce n'était pas un drame. Pour moi, quitter l'Elysée, ce n'était pas la vraie épreuve, ni même l'humiliation que cette affaire m'a causé… A ce moment-là, j'ai surtout perdu l'homme que j'aimais ! Mais la vie continue, j'ai des enfants, des ressources amicales, familiales et en moi-même. 

Découvrez la suite en intégralité de notre interview de Valérie Trierweiler en vidéo !

Interview exclusive ne pouvant être reprise sans la mention du Journal des Femmes.