Valérie Benaïm menacée de mort : contrainte d'engager un garde du corps, la chroniqueuse de TPMP raconte

Pas facile d'être une star du petit écran. Valérie Benaïm en sait quelque chose. La chroniqueuse de Touche pas à mon poste sur C8 s'est attirée les foudres d'un téléspectateur. Ce dernier n'avait vraisemblablement apprécié les propos et les avis de la journaliste de 53 ans, au point de la menacer à la sortie des plateaux de tournage de Canal + Factory, à Boulogne-Billancourt.

Valérie Benaïm menacée : un garde du corps pour éviter une agression

Ce mardi 10 janvier 2023, les chroniqueurs de TPMP discutaient des revers de la célébrité. Cyril Hanouna a interrogé Valérie Benaïm qui a alors remercié le roi du Paf pour sa protection : "Je tenais à vous dire merci de m'avoir mis un garde du corps parce que quelqu'un est venu ici pour s'en prendre à moi physiquement", a-t-elle commencé en direct de l'émission sur C8. "Il est venu à deux reprises, la deuxième fois, il a été arrêté. Cela m'a énormément bouleversée parce que je ne m'y attendais absolument pas." Valérié Benaïm a ensuite déploré ne pas pouvoir s'exprimer comme en "démocratie".

Un "déferlement de haine" : Valérie Benaïm menacée pour ses propos

En 2021 déjà, Valérie Benaïm avait évoqué cette histoire. Elle avait expliqué avoir déclenché l'ire des téléspectateurs en taclant Freeze Corleone, rappeur originaire de Saint-Denis qui avait été accusé d'antisémitisme pour des propos controversés dans ses chansons. "Je pense que ce type-là est abject et je lui dis dans les yeux 'Tu n'es qu'une merde'", avait-elle lancé, sans rougir. De quoi déclencher une vague de haine et la contraindre à faire appel à son fameux garde du corps. "Je n'ai pas compris un déferlement de haine, y compris d'antisémitisme", avait-elle déploré. "Ce qui m'a vraiment fait de la peine, c'est que ça a aussi fait de la peine à mes parents, avait-elle encore confessé à l'époque. Ils ont eu peur pour moi."

Une vie bousculée. "Quand ce n'est pas votre vie d'avoir un garde du corps, c'est tout à fait étonnant et impactant", avait-elle déclaré en janvier 2022 sur RTL, expliquant avoir même dû signaler ses déplacements comme au moment d'aller faire des courses. Elle raconte avoir voulu aller "au Monoprix du coin, acheter ma baguette, et là, on me dit : "Non, vous nous prévenez avant d'y aller'."

Si cette garde rapprochée l'a perturbée, Valérie Benaïm a ressenti de la peur. "On se dit qu'effectivement ça ne peut être que des paroles, puis tout d'un coup, il peut y avoir quelqu'un qui décide, pour une raison X ou Y, de passer à l'acte", avait-elle justifié dans la même interview. Un mauvais souvenir, derrière elle à présent.