"J'aurais pu me foutre en l'air" : Pierre-Jean Chalençon, violé dans son enfance, confidences

Pierre-Jean Chalençon a été violé dans son enfance et a pensé au suicide. L'ancien acheteur de l'émission "Affaire Conclue" se confie avec émotion sur Twitter...

"J'aurais pu me foutre en l'air" : Pierre-Jean Chalençon, violé dans son enfance, confidences
© Lionel Urman/SIPA

Pierre-Jean Chalençon a fait de tristes révélations sur son compte Twitter. Alors qu'il soutient Jérémy Bellet, ce jeune comédien qui lutte contre le harcèlement scolaire, l'ancien acheteur de Affaire Conclue, âgé de 52 ans, a expliqué à la Toile qu'il avait été violé dans son enfance. "Enfant, j'ai été victime d'attouchements et de harcèlement a l'école, un viol. Si un un garçon comme Jeremy Bellet avait été là, cela m'aurait beaucoup aidé pour mieux appréhender ce calvaire... J'ai donc décidé de m'investir pour son projet contre le harcèlement scolaire", a-t-il déclaré ce 10 novembre.

Pierre-Jean Chalençon, violé : il a pensé au suicide

"Oui j'ai été violé ! Le mot 'viol' vous le comprenez ? Accablé de voir que certains me demandent pourquoi je parle de ce drame aujourd'hui", a-t-il déploré sur Twitter, quelques jours plus tard, face à certains internautes mal intentionnés qui lui reprochent de s'apitoyer sur son sort. "A l'époque j'aurais pu me foutre en l'air. J'aurais aimé avoir Jérémy Bellet pour me soutenir à l'époque, stop au harcèlement", a-t-il révélé.

Qui est Jérémy Bellet ?

Pierre-Jean Chalençon a posé sur plusieurs photos aux côtés de Jérémy Bellet. Celui-ci a mis un point d'honneur à se battre contre le harcèlement scolaire à travers sa campagne "Respect pour tous". Le comédien et mannequin de 24 ans a d'ores et déjà été acclamé pour son court-métrage Un dernier souffle. Désormais, il prépare une chanson, une Marseillaise revisitée qu'il a écrite, ainsi qu'un clip, pour éveiller les consciences. 

Pierre-Jean Chalençon croule sous les dettes

Pierre-Jean Chalençon, qui réside dans son bienaimé Palais Vivienne, fait face à une situation délicate. Ce féru de Napoléon a dû vendre aux enchères plusieurs objets historiques chers à son cœur au cours de l'année. "Effectivement, j'ai vendu, pas par gaieté de cœur, pour payer les frais financiers de mon Palais Vivienne pour lequel je me suis endetté à l'achat, soit 30 000 à 40 000 euros par mois, alors que je n'ai reçu aucune aide de l'État pendant la pandémie. J'ai failli tirer mon chapeau à la France mais j'aime toujours autant Napoléon. Au lieu de couper le tronc, j'ai donc préféré couper les branches de ma collection", avait-il expliqué au Figaro.