Prince Andrew : son ex-femme de chambre balance (ours et pyjama)

Ce sont des scandales dont Elisabeth II se serait bien passée. Le prince Andrew, accusé d'agression sexuelle par Virginia Giuffre, pourrait être également impliqué dans une affaire de trafic de mineures, puisque son amie Ghislaine Maxwell, ex-compagne de Jeffrey Epstein vient d'en être reconnue coupable. Selon le Sunday Times, son titre royal lui aurait même été retiré. Et tandis que le fils de la reine d'Angleterre tente de faire profil bas, Charlotte Briggs, l'ancienne femme de chambre du prince Andrew, a pris la parole afin faire des déclarations qui risquent fort de l'embarrasser. 

Le Prince Andrew, un "enfant gâté" ? Peluches et paresse

Charlotte Briggs aurait d'abord qualifié le cadet d'Elisabeth II "d'enfant gâté". Elle a notamment énuméré les tâches qu'elle devait effectuer lorsqu'elle travaillait pour lui. "Nous étions deux et nous travaillions en rotation de 6h30 à 11h30 puis plus tard le soir. Nous devions déplier son lit, enlever ses peluches, fermer les rideaux et préparer son pyjama", a-t-elle commencé par expliquer. 

De surcroît, l'ex-femme de chambre du prince Andrew n'a pas hésité à mettre en exergue le pêché de paresse de son ancien patron. "Il était un peu paresseux et appelait de son bureau pour dire: 'Pouvez-vous envoyer la bonne fermer les rideaux ?' Ils étaient littéralement derrière lui, mais il a refusé de se lever pour les fermer lui-même", a-t-elle déclaré.

Prince Andrew, toujours accro à Sarah Ferguson ?

Si Andrew a divorcé de Sarah Ferguson en 1996, le duc d'York  était manifestement resté attaché à son ex-femme, dont il conservait les affaires bien après son départ. "Bien qu'elle n'y ait pas vécu, son maquillage était toujours posé sur une coiffeuse. Avant, je devais ramasser tous ces eye-liners, mascaras et poudres, épousseter en dessous et les remettre tous les jours", a expliqué Charlotte Briggs. Et d'ajouter: "Ses vêtements étaient là, ses chaussures aussi, et même sa robe de mariée était toujours accrochée dans l'armoire. C'était effrayant. Tout était posé comme si elle était là. Je ne comprenais pas pourquoi je nettoyais tout ça alors qu'elle n'allait pas revenir".