Léa Salamé a menti sur son congé maternité : kilos en trop et "gras du bidou"

A 42 ans, Léa Salamé se sent totalement libérée de ses complexes. Devenue maman d'un petit Gabriel en 2017, la journaliste n'a aucun mal à parler de son corps ou des quelques rondeurs accumulées pendant sa grossesse. Invitée du podcast InPower de Louise Aubery, la compagne de Raphaël Glucksmann est revenue sur ses formes post-partum, que certains médias ont affiché sans scrupule peu de temps après la naissance de son fils. "La presse people va chercher ta cellulite. J'ai été shootée trois mois après mon accouchement à la plage, j'ai eu les boules", a-t-elle débuté. Malgré "les remarques" qu'elle a pu entendre à propos de son physique, la comparse de Laurent Ruquier dans On Est En Direct ne fait plus attention aux regards malveillants qui jugent ses "kilos en trop". "Si tu vois mes photos depuis 15 ans, j'ai toujours eu deux ou trois kilos en plus que j'ai toujours assumés", a continué Léa Salamé, en indiquant qu'elle en plaisantait souvent avec son conjoint: "Je me fous même de ma gueule devant mon mec en parlant de 'mon petit gras du bidou', mais j'assume parfaitement".

Léa Salamé: pourquoi elle a menti sur son congé maternité

C'est en mars 2017, alors en pleine période de campagne présidentielle, que Léa Salamé et Raphaël Glucksmann sont devenus parents pour la première fois. Mais après l'arrivée du petit Gabriel, la figure de France 2 a préféré écourter son congé maternité et faire son retour à la télévision et la radio très rapidement, comme elle l'a révélé dans le podcast. "J'ai accouché en pleine campagne et je suis revenue à l'antenne trois semaines et demi après. J'ai même menti parce que je voulais absolument faire la campagne présidentielle. On était à un mois du vote et je voulais le faire (...) Théoriquement, je n'aurais pas pu revenir", a-t-elle assuré. 

Léa Salamé: "Il faut laisser cette liberté aux femmes"

Si Léa Salamé a aussi vite repris le chemin du bureau c'est qu'elle se "sentait physiquement prête". Elle était également bien entourée, "aidée par (s)on compagnon, par une nounou et (s)a mère". Mais la quadragénaire garde en tête que chaque jeune maman a des besoins différents... "Je voulais revenir. Ce n'est pas le cas de la majorité des femmes. En général, elles n'ont pas envie de revenir avant 6 à 8 semaines après avoir accouché", a continué la journaliste, avant de conclure: "Il faut laisser cette liberté aux femmes".