Audrey Fleurot, maman "absente", mais "rock'n'roll"

Audrey Fleurot s'illustrera bientôt dans la nouvelle création de TF1 intitulée "HPI". La comédienne s'est glissée dans la peau d'une jeune maman pas comme les autres... Une femme qui lui ressemble comme elle l'a confié dans Télé 7 Jours.

Audrey Fleurot, maman "absente", mais "rock'n'roll"
© Audrey Fleurot en 2019 FRANCK CASTEL/MPP/SIPA

Dans HPI, la nouvelle série de TF1 diffusée à partir du 29 avril, Audrey Fleurot va incarner Morgane Alvaro, une jeune femme un poil rebelle. Cette mère célibataire très particulière est en réalité caractérisée par son haut potentiel intellectuel et va intégrer les rangs de la Police ! Dans la vraie vie, la belle actrice de 43 ans est elle aussi maman de Lou, né en 2015 de son amour avec son compagnon, le réalisateur Djibril Glissant.

"Je suis un peu rock'n'roll"

Dans un entretien pour Télé 7 Jours, la flamboyante comédienne s'est confiée sur son quotidien familial: très prise par les tournages et son métier à 200 à l'heure, Audrey Fleurot n'est pas aussi présente qu'elle le souhaiterait dans la vie de son fils.

Alors dès qu'elle le peut, elle essaie de profiter un maximum de son petit garçon !

"Je suis souvent absente, alors quand je suis là, j'ai envie que ce soit festif. J'avoue, oui, je suis un peu rock'n'roll aussi", a-t-elle  assuré au magazine. 


Le baby blues d'Audrey Fleurot

Peu après la naissance de Lou, Audrey Fleurot a été envahie par les idées noires.

Une expérience qu'elle avait racontée dans le Huffington Post en 2018: "Il se trouve que moi, après avoir énormément désiré mon fils, j'ai fait ce qu'on appelle un gros baby blues"

Dans le tourbillon de sa carrière, la jolie rousse n'a pas tout à fait savourer sa grossesse et à mis du temps à réaliser qu'elle était devenue maman. 

"Je n'ai pas eu le temps de me regarder le ventre. Neuf mois, c'est le temps que ça prend pour se faire à l'idée. Et comme je n'ai pas eu le temps d'en profiter, je pense que ça m'a pris les neuf mois qui ont suivi", expliquait-elle.

"Si on m'avait dit plus tôt que ce n'était pas de ma faute, que c'était un coup des hormones, que je n'y pouvais rien et qu'il fallait que je prenne un traitement pour me recadrer, j'aurais perdu moins de temps", avait ensuite conclu Audrey Fleurot, afin de libérer la parole sur la dépression post-partum.