Nawell Madani : vomis, gelures et malaise en Mongolie, son "Rendez-vous en Terre Inconnue"

Froid polaire, altitude et émotions : ce mardi 26 mai, France 2 vous transporte pour un "Rendez-vous en terre inconnue" d'exception en compagnie de l'humoriste belge Nawell Madani. Direction la Mongolie, ses éleveurs de yacks... et ses -35°C.

Nawell Madani : vomis, gelures et malaise en Mongolie, son "Rendez-vous en Terre Inconnue"
© Capture France 2

Ce mardi 26 mai à 21h, l'humoriste Nawell Madani s'envole pour un nouveau numéro inédit de Rendez-vous en Terre Inconnue sur France 2. Pour ce 25e numéro, la comédienne de 36 ans embarque pour la Mongolie aux côtés de Raphaël de Casabianca, sur la trace des éleveurs de yacks. Sa plus grande crainte à quelques minutes de l'embarquement : "le très très très froid".
Pas de chance, direction les montagnes de la Mongolie, avec leurs 2 500 mètres d'altitude et leur climat moyen de -25°C. "On peut descendre jusqu'à -35°C" précise l'animateur.

Rendez-vous en terre inconnue : l'équipe technique à l'épreuve du froid

Si c'est la quatrième fois que le programme pose ses valises en Mongolie, Bruno Solo, Virginie Efira ou Mélanie Doutey pourront en témoigner, le voyage de Nawell Madani fut sans doute le plus rude, tant pour elle que pour l'équipe.

"Le grand froid nous a posé de nombreuses contraintes techniques. On doit avoir un jeu de caméras pour l'intérieur et un autre pour l'extérieur, sinon il y a de la condensation sur l'objectif ", a déclaré le producteur Laurent Baujard au Parisien

Ainsi, la société de production de Frédéric Lopez a dû faire appel a une équipe habituée des températures polaires. "On a loué une chambre froide près de Trappes (Yvelines), pour s'entraîner pendant une semaine. Et bidouiller le matériel pour installer des petits trucs, pour par exemple pouvoir faire le point sans retirer ses épaisses moufles plus d'une minute", précise le producteur au quotidien.

Nawell Madani : "L'altitude m'a fait beaucoup vomir"

Un climat arctique qui a mis les nerfs (et le corps) de la pétillante belge à rude épreuve, qui a eu beaucoup de mal à supporter l'altitude itinérante à ce pays. "L'altitude m'a fait beaucoup vomirEt j'ai énormément souffert pendant la transhumance par moins 35 degrés. J'ai eu les pieds gelés. Ils ont dû les placer sous leurs aisselles pour que ça reparte", a-t-elle confié à Télé Star.

Et à Raphaël de Casabianca de préciser au Parisien : "A cause de la fatigue et l'altitude, Nawell Madani est à moitié tombée dans les pommes"

Si les conditions étaient extrêmement difficiles, la jolie brune, qui a confié avoir fait ce voyage pour son père, garde un souvenir impérissable de cette expérience qui l'a fait grandir. "J'ai vraiment appris à me connaître là-bas. J'ai découvert que j'avais tort de douter de moi. Même quand je sors de ma zone de confort, ma constance me suit partout", a-t-elle déclaré au magazine.