Cherchez la Femme : 10 bonnes raisons d'aller voir le film

Avis aux cinéphiles en quête de fous rires : Sou Abadi débarque dans les salles pour la première fois le 28 juin avec son film Cherchez la Femme. Si vous ne savez pas quoi aller voir ce week-end, on vous donne 10 raisons de tomber sous le charme de cet opus hilarant. 

•  Pour soutenir Sou Abadi. Grande habituée du documentaire, la réalisatrice fait ses premiers pas dans la comédie et nous dévoile son tout premier film de fiction.
• Pour retrouver Camélia Jordana à l'écran. Chanteuse mais aussi actrice avec cinq films au compteur, on retrouve Camélia Jordana dans le rôle de Leïla. Une jeune femme cultivée et ambitieuse prête à donner de la voix, et dont le jeu nous laisse sans voix.
• Pour rire d'un thème qui fâche. Loin des clichés, Cherchez la Femme aborde le fondamentalisme religieux, un sujet qui incite la peur, avec un humour léger et intelligent.
• Pour découvrir que l'amour est plus fort que l'hostilité. Éperdument amoureux de la belle Leïla, retenue chez elle par son frère, Armand (alias Félix Moati) se procure un tchador, déterminé à la revoir. L'amour vaincra.
• Pour la prestation de William Lebghil, qui incarne Mahmoud, un jeune homme radicalisé à la suite d'un séjour au Yémen. Abonné au rôle de rigolo, l'acteur se révèle ici dans un jeu plus sombre et livre une prestation touchante et flippante à la fois.
• Pour se détendre devant un feel-good movie. Mieux vaut (en) rire que ('en) pleurer, non ?   
• Pour comprendre que le danger de la radicalisation peut toucher n'importe qui, même ceux qui évoluent dans un cocon familial soudé.
• Pour se perdre dans les yeux azur de Félix Moati. Affublé d'un voile intégral, l'acteur n'a plus que son regard peinturluré de mascara comme instrument de jeu. Résultat : on est captivé, autant que Mahmoud est envoûté. Chapeau Félix.
• Pour  Anne Alvaro, géniale en maman cool/poule féministe iranienne réfugiée politique en France qui n'hésite pas à tomber le haut.
• Pour la course poursuite finale en plein aéroport d'Orly Sud filmée en conditions réelles sans créer de panique générale. Un décor auquel la réalisatrice tenait pour y avoir attendu un nombre incalculable de visiteurs venant de Téhéran.

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