Donald et Melania Trump : Burgers-frites Vs. bougies parfumée, une fin de mandat qui sent mauvais

Si Melania Trump rêve déjà à l'après mandat, Donald Trump tente lui de conserver le pouvoir... Un programme aux antipodes pour le couple, déjà en froid, qui devrait quitter la Maison Blanche le 20 janvier prochain...

Donald et Melania Trump : Burgers-frites Vs. bougies parfumée, une fin de mandat qui sent mauvais
© Memorial Day, 11/11/20 - Cimetière national d'Arlington - UPI/ABACA

La première sortie officielle du couple Trump depuis l'annonce de la victoire de Joe Biden aux élections américaines a eu lieu mercredi 11 novembre. Au programme ? Une cérémonie en l'honneur du Memorial Day, hommage traditionnel aux anciens combattants, qui s'est déroulée dans un cimetière national d'Arlington, non loin de Washington.
Et c'est un couple distant qui est apparu sous l'œil vif des caméras du monde entier. Perchée sur ses talons hauts, emmitouflée dans un manteau gris, et arborant une tête de trois pieds de long, la First Lady n'est pas arrivée au même moment que son Président de mari.
Et il n'y a pas que sur leur heure d'apparition que Donald et Melania Trump ne semblent pas s'accorder ces derniers jours...
Alors que Potus 45 est rentré en croisade pour dénoncer des résultats faussés et une élection volée – sans élément concret à l'appui, son épouse vivrait un véritable soulagement !

Selon Le Parisien, Melania n'aurait même qu'une idée en tête: claquer la porte de la Maison Blanche !

Une passation à l'arrière-goût de divorce ?

Un événement qui devrait se produire le 20 janvier, jour de l'investiture de Joe Biden, pour le plus grand plaisir de la First Lady qui n'attendrait que ce moment pour demander le divorce.

"Melania compte les minutes qu'il reste à son mari avant de quitter la Maison Blanche, pour pouvoir enfin divorcer", expliquait Omarosa Manigault Newman dans son ouvrage Unhinged, paru en 2018.

Et l'ancienne collaboratrice de Donald Trump d'ajouter: "Si Melania essayait de lui infliger l'humiliation ultime en le quittant pendant son mandat, il trouverait un moyen de la punir".

En attendant le jour de la Passation (ou de la séparation ?), Melania Trump se terre dans ses appartements. Les bruits de couloir de la Maison Blanche disent même qu'elle aurait tenté – en vain - de convaincre son époux d'accepter la victoire du démocrate. "Sa famille en a assez de la Maison Blanche, ils n'aiment pas ce monde politique", déclarait un proche dans les colonnes du Figaro ce samedi 7 novembre.

En public pourtant, elle tente de se montrer en soutien. "Le peuple américain mérite des élections justes. Chaque vote légal – et non pas illégal – doit être pris en compte. Nous devons protéger notre démocratie avec une totale transparence", postait-elle sur Twitter, le 8 novembre. Un mot doux couplé au refus catégorique d'accueillir à la Maison Blanche l'épouse de Joe Biden, Jill Biden, comme le veut pourtant la tradition.

Trump se partage entre junk-food et avocats

Un quotidien tranquille qui jure avec celui de son mari. Après sa session de golf perturbée par l'annonce de la victoire de Joe Biden, il aurait passé des jours enfermés dans le Bureau Ovale, pendu à son téléphone et entouré de sa famille ainsi que d'une armée d'avocats.

"Il est en mode combat et dit que Biden serait un faux président et qu'il ne se présentera pas le 20 janvier [inauguration day] car ce serait une insulte à la démocratie", a déclaré une source au Daily Mail.

Une frénésie qui serait accompagnée, selon les confidences d'informateurs à nos confrères, d'une atmosphère "maniaque, exubérante, énergique et toxique"… et d'odeurs de graillon à cause de la fast-food que le leader de la première puissance mondiale commanderait en quantité pour nourrir toute son équipe (ou son estomac affamé).

Cela, au grand dam des employés du Palais qui aurait dû allumer une ribambelle de bougies à la rose pour couvrir les effluves.

Twitter met le holà 

Donald Trump aurait-il besoin de trouver du réconfort dans les nuggets, ice-cream et autres sodas ?

Outre la passation de pouvoir à laquelle il ne compte pas assister, le 45e président des Etats-Unis pourrait avoir un autre sujet d'inquiétude en tête.

Utilisateur compulsif de Twitter où il bénéficie d'un traitement de faveur, Donald Trump sait désormais qu'il risque de perdre son espace d'expression favori.

Le réseau social, qui se contente de ponctuer les tweets tendancieux de Donald Trump de signalements appelant à vérifier ses propos, a prévenu : dès que Joe Biden sera au pouvoir, l'ancien chef des Etats-Unis d'Amérique perdra ses privilèges sur Twitter.   

Une décision qui pourrait le priver de sa tribune politique préférée, mais... ne l'empêchera jamais de ga(ga)zouiller  !