Valerie Trierweiler et Gilbert Mitterrand
"J'ai tâtonné au début", reconnaît Valérie Trierweiler le 18 octobre à Chambly dans l'Oise. Sourire aux lèvres, la journaliste férue d'indépendance s'adoucit. "J'ai découvert qu'il n'y avait pas que des contraintes et qu'il y avait aussi des choses à accomplir", a-t-elle déclaré à l'occasion de l'inauguration d'une fontaine à eau pour la Fondation Danielle Mitterrand dont elle est l'ambassadrice. Cheveux au vent, Valérie Trierweiler semble enfin réconciliée avec son rôle de première dame. "Ma carrière n'est pas complètement entre parenthèses mais elle n'est plus la priorité", a-t-elle ajouté.
© CHESNOT/SIPA
