Madeleine Thompson : la passionnée du Japon

France. 18 ans. Son cavalier est Jasper Hunt.
Madeleine appartient a une famille de réalisateurs, producteurs et acteurs depuis quatre générations. Son arrière grand-père, Gérard Oury, et sa grand-mère, Danièle Thompson ont réalisé ensemble quelques chef d'oeuvres du cinéma français, comme la grande vadrouille, pour n'en citer qu'un. Une passion pour les arts coule dans les veines de Madeleine. "Dès que j'ai commencé à accepter cet héritage précieux, j'ai pu développer mes propres intérêts tout en m'en inspirant pour dessiner mon parcours." Ballerine à l'Opéra Garnier à l'age de 11 ans, elle applique la discipline de la danse à tout ce qu'elle entreprend. Élève en première année à Brown, aux États-Unis, Madeleine trouve son inspiration aussi bien chez la directrice des opérations de Facebook Sheryl Sandberg, que chez le réalisateur de films animés Hayao Miyazaki, "Je l'apprécie pour son talent de poète, son imagination. J'ai une passion pour la culture japonaise." Au Bal, Madeleine porte une robe Lanvin. "Chaque fois que la maison Lanvin proposait des robes à ma mère, Géraldine Pailhas, pour une soirée, je m'amusais à les essayer, mais j'étais à mille lieux d'imaginer que j'en porterais une. C'est magique !" dit-elle de celle qu'elle a choisie, en dentelle blanche, tout en rappelant sa citation préférée, de Robert James Waller : "les choses complexes sont faciles à faire. La simplicité est le vrai défi." Elle porte des boucles d'oreilles en saphir orange et diamants avec un bracelet assorti de Payal New York, le joaillier du Bal.
©  Jean-Luce Huré - Le Bal