Donald et Melania Trump, enfermés, déprimés, mais forcés de s'aimer

Deux semaines après sa défaite aux élections américaines, Donald Trump serait d'humeur maussade. Son quotidien ? Tweets, binge-watching de télé, licenciements... mais, a priori, pas de divorce en vue !

Donald et Melania Trump, enfermés, déprimés, mais forcés de s'aimer
© Alex Brandon/AP/SIPA

La pilule ne passe pas. Deux semaines après sa défaite aux élections américaines face au candidat Joe Biden, Donald Trump continue de clamer que le vote était truqué. "Les démocrates ont énormément triché", écrivait-il encore ce mercredi 18 novembre sur son compte Twitter. Un quotidien éprouvant qui finirait par peser sur le moral du 45e Potus. "L'humeur du Président est souvent sombre", ont confié les collaborateurs de Donald Tump au New York Times.

You're vired !

Lorsqu'il ne broie pas du noir, le Président des Etats-Unis, cloîtré entre les quatre (cents ? Mille ?) murs du 1600 Pennsylvania Avenue à Washington, se contenterait de faire défiler son fil Twitter, de regarder la TV et de zapper sur les chaînes câblées ou bien encore de virer ses proches collaborateurs.

Le dernier en date ? Le directeur de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency qui avait osé écrire qu'"aucune preuve qu'un système de vote a supprimé ou perdu des votes, modifié des votes ou a été compromis de quelque manière que ce soit". 

Malgré son humeur maussade, pas question, en effet, d'abandonner sa lutte acharnée pour reconquérir le pouvoir. "À la Maison-Blanche nous continuons à travailler en considérant que Trump va avoir un second mandat", a déclaré Peter Navarro, un de ses conseillers économiques, sur Fox Business. 

Pas question de divorcer

Dans son malheur, le Potus 45 peut tout de même compter sur un bonheur. Depuis l'annonce de sa défaite, la rumeur courait que sa rupture avec Melania était imminente. "Melania compte les minutes qu'il reste à son mari avant de quitter la Maison Blanche, pour pouvoir enfin divorcer", expliquait Omarosa Manigault Newman dans son ouvrage Unhinged, paru en 2018.  

Un scénario qui semblerait, pour l'heure, hautement improbable. Et pour cause: la First Lady, habituée à arborer une tête de trois pieds de long durant les sorties officielles, aurait, en effet, une autre priorité : Celle de protéger l'héritage de son fils, Barron, âgé de 14 ans.

Selon les confidences de l'avocate spécialisée en divorce Christina Previte au site Nicki Swift, Melania serait en effet "très préoccupée par le fait que Barron soit évincé de la famille, ce qui semble compréhensible étant donné la relation tendue qu'elle aurait avec [la fille de Donald] Ivanka".

Et, une séparation l'empêcherait, à l'en croire, d'influer sur les décisions financières qui affecteront l'avenir de son fils de milliardaire... Une angoisse qui l'aurait même poussé à faire réécrire son contrat prénuptial de mariage,  selon Mary Jordan, auteure de The Art of Her Deal: The Untold Story of Melania Trump.

Après tout: ne dit-on pas qu'on se marie "pour le meilleur et pour le pire" ?