Thierry Olive (L'Amour est dans le pré) change de vie : "C'est grâce à Annie..."
En 2012, la France faisait la rencontre d'un agriculteur désormais culte de "L'amour est dans le pré" : Thierry Olive. L'émission lui a d'ailleurs permis de rencontrer le grand amour. Et aujourd'hui, il s'apprête à changer de vie !
C'est un virage à 180 degrés, loin du monde de l'agriculture, que ce candidat phare de L'amour est dans le pré, l'émission de dating rural de M6, s'apprête à opérer. À 57 ans, Thierry Olive, éleveur de bovins révélé dans la saison 7 du programme, a en effet décidé de se séparer de son exploitation !
Thierry Olive (L'amour est dans le pré) change de métier : "C'est grâce à Annie"
Toujours marié à Annie, qu'il a rencontrée grâce à l'émission en 2012, l'agriculteur désormais culte de l'émission animée par Karine Le Marchand a décidé de se consacrer entièrement à son activité annexe, lancée il y a un an avec l'aide précieuse de sa femme. Le couple, qui a fêté ses 13 ans de mariage le 15 septembre dernier, est en effet à la tête d'un gîte rural qui fonctionne très bien.
Et c'est dans une interview accordée à La Presse de La Manche que Thierry Olive a révélé qu'il avait mis en vente sa ferme, située dans la Sarthe. Installé dans cette ferme de 30 hectares où il élève des bovins depuis 1990, l'agriculteur s'offre donc enfin une reconversion professionnelle, loin du monde de l'agriculture. "C'est grâce à Annie car moi, j'ai du mal avec Internet. Notre affaire marche bien et ne demande pas beaucoup de travail, donc ce sera parfait pour la retraite !", a fait savoir le principal concerné au journal local.
Thierry Olive (L'amour est dans le pré) bientôt à la retraite ? "J'ai envie de…"
Un changement de vie radical pour celui qui s'apprête donc à prendre petit à petit sa retraite. Et grâce à ce gîte ouvert en 2024, Thierry Olive compte bien rattraper le temps perdu… Et prendre du temps pour sa femme ! "J'ai envie de découvrir les produits de notre terroir, aller en Alsace par exemple… La France est belle et je ne la connais pas", a-t-il expliqué.
Quoi qu'il en soit, il a récemment confié à Ouest-France qu'il n'était "pas pressé de vendre". Pour autant, l'agriculteur a tout de même reconnu "avoir du mal à suivre" car il se sent "trop cassé et fatigué". Mais pas question pour lui de céder sa ferme au premier venu : "D'abord, il faut que le courant passe bien avec les repreneurs et qu'ils ne fassent pas n'importe quoi avec la ferme. Et puis, si j'ai un coup de cœur sur la personne, alors je pourrais bien l'accompagner quelques mois".
