Samuel Etienne : Cette erreur qu'il a commise avant un tatouage… "Je ne suis pas fier !"

Vous ne vous en doutiez peut-être pas, mais Samuel Etienne est très féru de tatouages ! Le présentateur de Questions pour un champion s'est confié dans l'émission Tartine de vie, présentée par Ben Névert sur YouTube, et a révélé quelle était l'erreur qu'il avait commise avant de se faire tatouer.

Samuel Etienne : cette erreur commise avant un tatouage… "Ne faites pas ça !"

Qui l'eut cru ? L'animateur de 53 ans possède plusieurs tatouages, et pas des moindres ! Il s'agit de gros dessins de dragons sur le ventre et les cotes. "J'en ai fait des grosses pièces sur le corps, à des endroits qui piquaient un peu", a-t-il expliqué. Juste avant de se faire tatouer, il a eu recours à une méthode, assez déconseillée, pour atténuer quelque peu la douleur. 

"J'avoue, j'ai fait ma chochotte et j'ai mis des crèmes (…) Je ne suis pas fier, on ne devrait pas faire ça normalement", a-t-il détaillé, tandis que Ben Névert précisait qu'il n'était pas conseillé d'appliquer certaines crèmes avant un tatouage, de peur de "modifier la texture de la peau".

Il faut dire que pour Samuel Etienne, la douleur était particulièrement forte notamment parce que les séances chez son tatoueur, situé à Perpignan, étaient longues. "Je faisais des séances de 6-7 heures à chaque fois, pour rentabiliser le trajet puisque mon tatoueur habite à Perpignan", a-t-il détaillé, précisant qu'une séance dure habituellement 2 à 3 heures. L'animateur de France 3 a toutefois relativisé : "J'ai eu de la chance, je suis toujours là et le tatouage est bien, mais ne faites pas ça". Et d'ajouter : "C'est mon côté un peu punk".

Samuel Etienne : l'explication "mystérieuse" de ses tatouages

Samuel Etienne sait que son public ne se doute pas forcément de son goût pour les tatouages ! Il ne comprend pas, lui-même, cette fascination. "Le tatouage, c'est mystérieux. Ce que j'aime, c'est qu'on ne sait pas trop pourquoi, mais c'est une envie irrépressible. J'adore cette idée que cela s'impose à nous, qu'il y ait un côté talisman, amulette, comme un besoin de protection, une façon de se compléter ou de s'approprier son corps", a-t-il détaillé. Ainsi, le journaliste ne sait toujours pas pourquoi il apprécie les tatouages "d'énormes dragons", outre le fait qu'il aimait "jouer avec le feu" étant enfant…