Frank Leboeuf pas à l'aise avec la carrière de sa fille Jade : "Ça me dépasse"

Sur un terrain de foot ou sur la scène d'un théâtre, rien ne semble arrêter l'ex-défenseur central de l'équipe de France. Si depuis 2005, Frank Leboeuf a pris une retraite sportive bien méritée, il s'est remis activement à une autre activité : le théâtre. Une carrière qui suit son chemin. Et le père de famille de deux enfants (Jade née en 1990 et Hugo né en 1992), qui a été invité sur le plateau de Jordan de Luxe, n'a pas hésité à donner son avis sur les carrières respectives de ses enfants. Le moins que l'on puisse dire c'est que le métier de sa fille ne le laisse pas indifférent…

Frank Leboeuf : pourquoi il ne donne pas d'argent à ses enfants

Le Marseillais de 56 ans est clair dans son éducation avec ses enfants. Il sait que porter le nom "Leboeuf" implique souvent d'être associé directement à lui et met donc en garde son fils et sa fille sur les risques de la célébrité : "On fait un métier public donc on ne peut pas faire et dire n'importe quoi".

Un papa bienveillant qui leur a inculqué le sens des responsabilités pour se débrouiller par eux-mêmes. "Ils doivent être fiers de leur vie, ils n'ont pas d'argents de ma part, je n'ai pas à donner mon argent. Ça ne les servira pas. Ils se débrouillent tout seuls", a-t-il expliqué à Jordan De Luxe. Si son fils, Hugo, marche sur les traces de son père en tant que comédien, Jade, quant à elle, est influenceuse. Et Franck Leboeuf n'est pas particulièrement ravi de la voir évoluer dans ce domaine.  

Frank Leboeuf, cash sur le métier de sa fille Jade : "Je n'apprécie pas..."

Être exposé sur les réseaux sociaux n'est jamais évident à vivre lorsqu'on est la fille "de".  Mais Jade Leboeuf, qui compte plus de 260 000 abonnés sur son compte Instagram, semble bien gérer cette carrière, bien que son père ne voit pas forcément cette activité d'un bon œil. "Elle fait un métier que je n'apprécie pas forcément", a-t-il confié avant de poursuivre : "Ca me dépasse car ça ne fait pas partie de ma génération". Un écart de génération qui pousse le père et la fille à échanger souvent sur le sujet : "On a des conversations franches tous les deux".