Jules Bouyer : Ce deuxième métier que le plongeur exerce discrètement...
Le plongeur français est la sensation de ces JO depuis que la Toile s'est emballée sur son petit slip très moulant... En dehors des bassins, Jules Bouyer pratique un autre métier.
Après avoir échoué en duo de l'épreuve synchronisée avec Alexis Jandard, le jeune plongeur Jules Bouyer s'est cependant qualifié pour la finale en individuel du Tremplin à 3m hommes, qui aura lieu le 8 août. Il est devenu la sensation de ces Jeux...
Jules Bouyer plongeur mais pas !
S'il brille dans les bassins, le plongeur originaire d'Annecy et âgé de seulement 22 ans, est aussi... mannequin. En effet, il est signé auprès de l'agence Ford Models Paris. On peut d'ailleurs voir sur la page qui lui est consacrée quelques photos professionnelles. Habillé ou en petit slip dans à la piscine... L'agence précise que Jules Bouyer est notamment apparu dans les pages d'Athletica Magazine, en janvier dernier, signant alors "son premier shooting papier qui vient confirmer son fort intérêt pour la mode."
Sur les photos professionnelles qu'il partage lui-même dans une story permanente de son compte Instagram, on peut ainsi le voir habillé aussi bien par Prada que par AMI. Le début d'une belle carrière dans le mannequinat pour les années à venir ? S'il venait à remporter une médaille aux Jeux, il toucherait ainsi une somme allant de 20 000 euros, à 40 000 euros ou encore 80 000 euros pour de l'or. Une coquette somme mais qui ne permet pas de vivre indéfiniment. La mode peut mettre du beurre dans les épinards.
Jules Bouyer aux JO : il ne passe pas inaperçu !
Le jeune sportif est devenu l'un des chouchous des spectateurs de ces Jeux Olympiques de Paris 2024 en raison d'une photo de lui en slip tricolore, qui a agité les réseaux sociaux. Il faut dire que Jules Bouyer semble avoir été plus que gâté par la nature...
Il a fini par réagir au buzz improbable qu'a suscité son entrejambe. "J'ai vu ça il y a quelques jours. Si ça amuse certains de regarder mon slip, c'est leur problème. Ça m'a amusé. Cela dit, il ne faut pas oublier aussi que ça peut sortir l'athlète de sa bulle et que cela peut blesser. Moi, ça n'a pas été le cas. C'était plutôt marrant. Je préfère qu'on regarde mes plongeons plutôt que mon slibard, mais il n'y a pas de souci", a-t-il dit auprès du Progrès. Depuis, c'est un autre sportif qui a fait parler de lui pour la même chose : le perchiste français Anthony Ammirati !