Christine Bravo : Son mari forcé de rentrer à Paris... "J'en suis malade !"

L'animatrice Christine Bravo est en colère et le fait savoir ! Alors qu'elle vit avec son mari en Corse, le couple est contraint de rentrer à Paris pour mettre de l'ordre dans leurs affaires...

Christine Bravo : Son mari forcé de rentrer à Paris... "J'en suis malade !"
© Poree Audrey/ABACA

À quelques semaines du coup d'envoi des Jeux Olympiques, c'est la douche froide pour Christine Bravo. Pourtant, il y a quelques semaines à peine, l'animatrice de Sous les jupons de l'Histoire se réjouissait que sa péniche soit choisie par le Comité Olympique pour participer à la cérémonie d'ouverture sur la Seine. Malheureusement pour elle, la joie n'aura été que de courte durée… 

Christine Bravo en rogne !

La sociétaire des Grosses Têtes et son mari Stéphane Bachot - un homme d'affaires spécialisé dans la vente et l'achat de biens maritimes - vont devoir aménager leur péniche parisienne amarrée, non loin de Notre-Dame. Et le plus vite possible s'il vous plaît ! Dans une vidéo postée sur Instagram, Christine Bravo a expliqué que, comme tous les propriétaires d'embarcations parisiennes, elle allait devoir déplacer les grandes plantes qui ornent sa terrasse pendant toute la durée des Jeux. 

"Le comité des Jeux Olympiques nous oblige à virer toutes nos plantes et toutes nos fleurs de nos péniches, là, tout de suite, maintenant", a d'abord expliqué l'ex-star de Frou Frou.  Et, en rogne, elle ajoute : "Pour que les gens qui ont payé 2700€ par personne sur l'espace public puissent voir la délégation olympique sans fleurs…"

Le mari de Christine Bravo forcé de rentrer à Paris 

L'animatrice de 68 ans, qui s'est installée en Corse - dans le petit village d'Occhiatana, où elle possède un moulin génois rénové - a donc annoncé une triste nouvelle : elle doit se séparer de l'ensemble de ses fleurs et autres plantes. "Je solde tout à 2000€. C'est à venir prendre sur la péniche. C'est vraiment une affaire si vous avez une terrasse… Je m'en sépare à contre cœur sur injonction du comité des JO qui nous oblige à les ôter. J'en suis MALADE ! Mon mari rentre à Paris exprès la semaine prochaine", a-t-elle ajouté.

Dans une autre publication Instagram, Christine Bravo a tenu à exprimer une nouvelle fois son mécontentement. "Le comité des JO ne veut aucune plante sur nos péniches afin de ne pas gêner la vue des spectateurs ayant payé 2700€ LA place sur les gradins. Je rappelle qu'il s'agit de l'espace PUBLIC", a-t-elle d'abord écrit. Avant de conclure : "Ça s'appelle du RACKET"

La soixantenaire qui ne vit plus à plein temps dans la capitale mais fait des allers et retours depuis la Corse, ajoute : "Je suis dans la situation de TOUS les habitants de bateaux logements. On doit vider les ponts sans aucune aide financière. C'est comme ça. Ça s'appelle un DICTAT." Clair, net et précis !