Antoine De Caunes explique (enfin) les raisons de sa brouille avec Dorothée

Antoine De Caunes a plusieurs casquettes depuis toujours : écrivain,  humoriste, acteur, réalisateur, animateur radio et de télévision. Le compagnon de Daphnée Roulier a son style, une dose d'impertinence mêlée à pas mal de dérision. C'est certainement pour cela qu'il se lance à 70 ans dans la création d'un magazine baptisé Vieux avec un motard en Une du premier numéro. Car il est aussi Rock'n'roll. Pendant des années, Dorothée a été sa tête de turc. Et pour cause, l'animatrice aurait trahi sa mère et celui-ci l'aurait gardé en travers de la gorge, selon ses récentes confidences dans Clique.

Antoine De Caunes : ce qu'il ne pardonne pas à Dorothée

Dans l'émission de Mouloud Achour, l'acolyte de José Garcia est revenu sur sa brouille avec la chanteuse et animatrice Dorothée. "J'en voulais à Dorothée d'avoir quitté Antenne 2 pour aller sur TF1 (pour présenter le Club Dorothée, en 1987, ndlr). Je trouvais que c'était déloyal vis-à-vis de ce que ma mère avait fait pour elle", a-t-il expliqué. C'est grâce à Jacqueline Joubert que l'ex-star des enfants a démarré sur Antenne 2 avec son émission emblématique Récré A2. Petit à petit, le clash entre Antoine De Caunes et Dorothée a pris tellement d'ampleur que même les Musclés s'en étaient mêlés avec une chanson sur "le méchant Antoine Daicône".

Jean-Luc Azoulay défend Dorothée

Antoine De Caunes était également revenu sur sa brouille avec l'animatrice chouchou des enfants, Dorothée, dans Midi Libre. "J'en voulais surtout à Dorothée parce qu'elle s'était mal conduite avec ma mère qui l'avait formée, mise à l'antenne. (…) Cédant aux sirènes de TF1, Dorothée l'a lâchement abandonnée en route, et je lui en voulais beaucoup pour ça".

Son producteur de l'époque, Jean-Luc Azoulay, a voulu défendre sa protégée en apportant des précisions sur Twitter : "La mère d'Antoine de Caunes, Jacqueline Joubert était une femme extraordinaire. Elle devait faire partie avec nous de l'aventure TF1 mais a décidé au dernier moment de ne pas nous suivre. Cela n'enlève en rien l'admiration et la reconnaissance que Dorothée et moi lui portons".