Arielle Dombasle : 5 choses que vous ne saviez pas sur la (mystérieuse) actrice !

Arielle Dombasle, qui joue dans le second volet du film Alibi.com, désormais en salles, est une créature sylphide, gracieuse, mais surtout mystérieuse. Son âge reste méconnu (même si Libération indique qu'elle serait née en 1958, copie de son passeport pour preuve) et sa personnalité, à la fois grandiloquente et sophistiquée, intrigue. Qui est vraiment la sirène Arielle ? Voici cinq choses que vous ne saviez (peut-être) pas sur la chanteuse, comédienne et réalisatrice.

• Arielle Dombasle a hérité de l'argent de son père, un riche industriel. La sexagénaire est aisée financièrement, certes, mais d'où provient sa fortune ? Si elle gagne son argent en grande partie grâce à ses cachets d'artiste, il semblerait aussi que l'épouse de Bernard-Henri Lévy ait hérité des deniers de son père, Jean-Louis-Melchior Sonnery de Fromental. "Ma famille c'est les grands soyeux de Lyon et puis, un jour, ça a périclité car sont venues toutes les choses synthétiques d'Asie, et donc mon père, lui, a fait des usines en Amérique. C'est un fleuron français qui s'est exporté en Amérique", avait expliqué la belle liane au micro des Grosses Têtes. En outre, son père était un collectionneur d'art précolombien et un archéologue. Aujourd'hui, elle résiderait dans un appartement du 8e arrondissement de Paris avec son époux, BHL. Ses fenêtres donnent sur l'Elysée...
• Arielle Dombasle s'est "ruinée". Après la mort de son père, qui survient lorsqu'elle n'a que 18 ans, Arielle Dombasle, qui réside alors au Mexique, part vivre chez sa grand-mère à Paris. Là-bas, la vie n'est pas si simple. Et pour cause, la jeune femme ne parvient pas à gérer l'argent de sa famille. "J'ai ruiné ma grand-mère, je me suis ruinée moi-même. J'avais des dettes terribles. J'ai été sur la paille parfois. On avait froid donc on brûlait les meubles de l'appartement", s'était-elle souvenue au micro de Voltage.

• Arielle Dombasle a été mariée à un playboy de 32 ans de plus. Dans sa jeunesse, l'artiste fait la connaissance du chirurgien-dentiste Paul Abou. Tombée sous le charme de ce "playboy très connu" (selon ses propos dans l'émission Le Divan), elle l'épouse malgré leur différence d'âge de 32 ans. "Il avait séduit les plus belles femmes du monde (Bardot, Fonda, Welch, Bisset, ndlr). C'était un personnage adoubé, un prince. À l'époque, j'éprouvais le besoin d'être une espèce de Lolita. C'était ce type de rapport que je voulais entretenir avec un homme", avait-elle raconté à L'Express.

• Arielle Dombasle a été draguée par la star qui avait "le plus gros organe d'Hollywood". Dans les années 80, la comédienne a joué dans un épisode de la série Deux flics à Miami, avec le célèbre Don Johnson. Alors qu'Arielle Dombasle racontait cette anecdote sur le plateau des Grosses Têtes, Laurent Ruquier, lui a précisé qu'il "avait une bonne réputation sur le plan sexuel à l'époque", avant d'ajouter : "On disait que c'était le plus gros organe d'Hollywood". Et Arielle Dombasle a eu l'occasion de vérifier la rumeur, puisque lors du tournage, elle a été conviée dans le bungalow de l'acteur... qui l'a accueillie en tenue d'Adam... et en érection ! "J'étais affolée ! C'était assez stupéfiant quand même", a-t-elle raconté avant de préciser qu'elle avait refusé ses avances.
• Arielle Dombasle n'avait jamais pénétré dans un supermarché... avant le confinement ! Avant la pandémie, la chanteuse n'avait jamais fait ses propres courses ! Mais lorsque le confinement est entré en vigueur au printemps 2020, celle qui aime se faire appeler "la princesse" (notamment par ses collègues des Grosses Têtes) n'a eu d'autre choix que de pénétrer dans cet univers inconnu. "Je suis absolument terrifiée... Pour la première fois, je suis allée faire des courses alimentaires. Ça a été très difficile", a-t-elle raconté au micro des Grosses Têtes. Et de poursuivre son récit : "Je suis arrivée à un truc qui s'appelle Market (Carrefour, ndlr). Je suis allée là, les gens étaient hyper sympas. Je suis allée au rayon jus (...) J'ai quitté le market, je savais pas quoi prendre, je n'avais aucune idée de ce que pouvaient bien être les produits de première nécessité".