Marina Carrère d'Encausse, divorcée et heureuse ? "Je fais ce que je veux quand je veux"

Marina Carrère d'Encausse, divorcée du père de ses enfants, a fait de rares confidences auprès de "Gala" sur son ex-mari, sa nouvelle vie de célibataire et ses enfants...

Marina Carrère d'Encausse, divorcée et heureuse ? "Je fais ce que je veux quand je veux"
© Jacques BENAROCH/SIPA

Marina Carrère d'Encausse a toujours su qu'elle voulait être mère. "Le seul calcul que j'ai pu faire dans ma vie, c'est celui d'avoir des enfants. C'est très égoïste de dire ça mais, si je n'avais pas rencontré mon mari, j'aurais pu en faire avec n'importe qui tellement je savais qu'il fallait que j'en aie", a confié l'animatrice et médecin de 61 ans à Gala. L'acolyte de Michel Cymes, divorcée du père de ses enfants, Francis, est restée en bon termes avec lui. "Heureusement, je suis tombée sur un homme qui a été un excellent mari et un excellent père, qu'il est toujours", a-t-elle assuré auprès du magazine.

Marina Carrère d'Encausse célibataire et "libre" sans ses enfants

Marina Carrère d'Encausse est mère de trois enfants, Lara, 27 ans, Thibault, 30 ans, et Hugo, 33 ans. Tous ont quitté le domicile familial mais restent "très présents" dans sa vie. "Ils ont souvent besoin de leur maman", a-t-elle assuré. Malgré cette sollicitation presque constante, l'animatrice, qui est toujours célibataire, découvre les petits plaisirs de la solitude. "Je me sens très libre. Et c'est nouveau pour moi car je n'avais jamais vécu seule", a-t-elle confié, toujours à Gala. Bien qu'elle ait "adoré la vie de famille", elle "trouve extrêmement plaisant et agréable de vivre sans contrainte" et se réjouit : "Je fais ce que je veux quand je veux". Et de conclure : "C'est un luxe". 

Marina Carrère d'Encausse, "angoissée" par l'avenir ?

La présentatrice du Magazine de la Santé apprécie de vivre sans contrainte depuis son plus jeune âge. Alors que sa mère était professeure à Sciences Po et que son frère Emmanuel Carrère y était élève, Marina Carrère d'Encausse, elle, a choisi une voie dans laquelle il n'y avait pas de "concurrence familiale" : la médecine. Une manière de s'affranchir des attentes de ses proches.

"Par chance, ces études m'ont énormément plu", s'est-elle souvenue. L'animatrice, qui est apparue pour la première fois sur le petit écran dans Télématin en 1992, n'avait pas non plus prévu de faire de la télévision. Un état d'esprit spontané qui continue de la suivre aujourd'hui. "Je suis tout sauf calculatrice et encore moins carriériste. Et ce que l'avenir me réserve ne m'angoisse pas du tout, au contraire, je trouve ça assez rassurant parce que finalement, depuis bien longtemps, je trouve que la vie a plus d'imagination que moi", a-t-elle assuré à Gala. Zen, soyons zen !