Laurence Ferrari décroche un nouveau job : découvrez lequel !
Après TF1, CNews ou encore Europe 1, la journaliste Laurence Ferrari s'éloigne un peu de la télévision avec son tout nouveau travail. Elle a décroché un job supplémentaire auprès d'un célèbre magazine...
La nouvelle vient de tomber dans un communiqué de presse, le 13 septembre 2022 : Laurence Ferrari est nommée rédactrice en chef du service politique de Paris Match, publié par le Groupe Lagardère. Cette annonce confirme les informations de Stratégies et Les jours, publiées la semaine dernière. La journaliste de 56 ans remplacera Bruno Jeudy dès le lundi 19 septembre.
Laurence Ferrari, rédactrice en chef politique
Un nouveau job avec beaucoup de responsabilités qui n'empêchera pas la journaliste et femme de Renaud Capuçon à continuer ses autres activités sur CNews et Europe 1, le communiqué de presse précise : "Laurence Ferrari poursuit son émission Punchline" diffusée sur les deux médias. En revanche, selon Les Jours, elle devrait arrêter son interview politique du matin à 8h15 sur CNews, qu'elle présente depuis 2019. La journaliste se dit ravie de rester dans son "secteur de prédilection", la politique. Elle ajoute : "C'est un honneur pour moi de rejoindre la rédaction de Paris Match, titre iconique du groupe Lagardère, groupe pour lequel j'ai une affection particulière car j'y ai fait mes premiers pas de journaliste en 1988 et c'était sur Europe 1 !".
Cette nomination peut surprendre, Laurence Ferrari ayant peu d'expérience en presse écrite, mais le directeur général et la directrice de rédaction, Patrick Mahé et Caroline Mangez, mettent en avant "la force du témoignage par l'image qu'elle a pratiquée tout au long d'une carrière à la télévision", l'une des marques de fabrique de l'hebdomadaire.
La relève de Bruno Jeudy
Laurence Ferrari arrive dans un climat tendu pour la rédaction de Paris Match, depuis le départ brutal de son prédécesseur, Bruno Jeudy, au mois d'août dernier. Le journaliste a quitté le magazine à cause de désaccords éditoriaux avec la direction, ce qui pour la rédaction prouve que "Paris Match est menacé et ce, dans le contexte de la prise de contrôle du groupe Lagardère, propriétaire de Paris Match, par le groupe Vivendi et son actionnaire de référence, le groupe Bolloré". Elle a aussi voté une motion de méfiance...