Un teint de riz

A l'époque Edo, la beauté des femmes était très codifiée et le maquillage ne se composait uniquement de blanc, de noir et de rouge. Critère de beauté ultime, le teint de la femme devait être le plus blanc possible. Pour cela, elle s'appliquait un fard blanc au doigt ou au pinceau afin de recouvrir non seulement son visage mais également le décolleté et la nuque. Appliquer cette pâte épaisse, qui durcissait si on ne l'étalait pas rapidement, nécessitait un grand savoir-faire.
©  POLA Research Institute of Beauty and Culture

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