#BringBackOurGirls

Pour rallier Chibok, ville où plus de 270 lycéennes ont été enlevées par les barbares de Boko Haram, Manon et Véronique ont dû se faire passer pour des joueuses de polo à la recherche d'un tournoi, afin d'obtenir un visa pour le Nigeria. "Plus c'est gros, mieux ça marche", précisent-elles. Force est de constater que la technique a payé.
©  Véronique de Viguerie