Valérie Lemercier et son argent : "Je suis l'une des seules actrices à m'acheter…"
La carrière de Valérie Lemercier est tout à fait impressionnante. Pour autant, l'actrice et réalisatrice de 61 ans garde-t-elle les pieds sur terre ? Elle s'est confiée à "Paris Match" sur son rapport à l'argent et sur certains privilèges auxquels elle n'a pas droit...
Depuis le début des années 1990, Valérie Lemercier est l'une des figures les plus populaires du cinéma français. Avec trois Molière et trois César à son actif, elle a su s'imposer dans le paysage médiatique en un rien de temps. D'ailleurs, ce 10 juillet, TF1 rediffuse l'une des comédies cultes dans laquelle elle incarnait la fameuse Béatrice de Montmirail, Les Visiteurs. Mais ce succès a-t-il fait tourner la tête de Valérie Lemercier ?
Valérie Lemercier, cash : "Si j'avais fait des choses pour l'argent…"
En avril dernier, l'actrice de 61 ans a fait quelques confidences sur son rapport à l'argent dans les colonnes de Paris Match. La comédienne a-t-elle déjà fait un film pour l'argent ? Jamais ! "Non. Si j'avais fait des choses pour l'argent, j'aurais vendu mes spectacles", a-t-elle d'ailleurs ironisé. Avant d'ajouter, le sourire aux lèvres : "Et j'en aurais vendu, à l'époque, des DVD !".
"Je suis même peut-être une des seules à m'acheter mes robes pour aller à Cannes", a ensuite précisé Valérie Lemercier. Même lorsqu'elle croit pouvoir profiter de certains privilèges liés à son métier, elle finit par déchanter : "La dernière fois, aux César, j'ai cru avoir un deal en portant des bijoux. Je me suis retrouvée avec un bon pour massage / gommage auquel je ne suis même pas allée…". Celle qui remontera sur scène dès le mois d'octobre prochain au théâtre Marigny à Paris a assuré ne pas être "accompagnée par des marques".
Valérie Lemercier, "dépensière" : "1000 francs dans un seul manteau"
D'ailleurs, elle n'a pas non plus "d'agent image". Fait assez rare pour être souligné ! "C'est que je reste un peu libre", a-t-elle conclu. Pourtant, elle l'a avoué dans un autre entretien accordé à Paris Match en février 2024 : elle est dépensière depuis son plus jeune âge. "Je suis dépensière et inconséquente. J'aurais été capable de dépenser les 1 000 francs dans un seul manteau", a-t-elle fait savoir alors que nos confrères lui rappelaient son arrivée à Paris avec 1000 francs, offerts par son père, en poche.
