Carla Bruni-Sarkozy, de la diva à la mamma Croqueuse d'hommes

Corps de déesse et mœurs rock'n roll, la muse Carla collectionne les hommes publics : Mick Jagger, Jean-Jacques Goldman, Arno Klarsfeld, Eric Clapton, Louis Bertignac, Vincent Pérez, Donald Trump, Kevin Costner, Laurent Fabius, Léos Carax, Charles Berling... Puis connait des bas. Au milieu des années 90, sa silhouette est au top. Pas sa carrière. Pour cette séductrice, ne plus se sentir désirée par les professionnels est une terrible souffrance. Un vide qui se mue en torture lorsque son père décède. 

Un lourd mystère

Carla apprend en 1996 ce qui est pour une bonne partie de la bourgeoisie italienne un secret de polichinelle. Alberto Bruni-Tedeschi n'était pas son père biologique. Marisa Borini a vécu pendant six ans une histoire adultère avec Maurizio Remmert, un guitariste devenu entrepreneur au Brésil...

Coup de foudre

La psychanalyse devient une rééducation à une vie normale. Carla se structure. Elle se lance dans la chanson, caracole en tête des charts... et fait un enfant, Aurélien, avec le philosophe Raphaël Enthoven. Six ans plus tard, elle tombe amoureuse du président Sarkozy lors d'un dîner chez Jacques Séguéla. Un tour de manège chez Mickey et une escapade en Jordanie plus tard, voilà notre Minnie unie "à l'homme de sa vie", deux mois après l'avoir rencontré.

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