Paul El Kharrat (12 Coups de Midi) : le biopic !

Fiction pour un champion. Devenu une star de l'émission "Les 12 Coups de Midi" grâce à son impressionnante série de victoires, Paul El Kharrat va voir son histoire adaptée en téléfilm sur TF1.

Paul El Kharrat (12 Coups de Midi) : le biopic !
© Paul El Kharrat / Capture d'écran Youtube

En l'espace de deux ans, Paul El Kharrat est devenu l'un des meilleurs participants de l'histoire des 12 Coups de Midi. Avec 153 participations au compteur, l'ancien Maître de Midi a empoché 691 522 euros de gains. Très touchant, celui qui est atteint du syndrome d'Asperger poursuit son chemin à la télévision en apparaissant sur les grands primes des 12 Coups de Midi, mais également dans Les Grosses Têtes et tout récemment dans Le Club des Invincibles de Nagui sur France 2.

Une future fiction liée à sa biographie

Auteur du livre Ma 153e victoire, Paul El Kharrat va avoir le bonheur de voir son oeuvre adaptée en téléfilm par TF1

Dans son autobiographie, le jeune homme évoque notamment son autisme mais aussi et surtout son incroyable parcours dans Les 12 Coups de Midi.

Il a donné des nouvelles du projet à TV Mag: "Ce téléfilm est déjà en germe, bien que ça sorte dans deux ans. Le synopsis a été soumis à TF1. On fait des réunions pour parler des avancées de la réalisation et la mise en perspective de cette future fiction liée à ma biographie."

Pour jouer son propre rôle, Paul El Kharrat a déjà une petite idée d'un acteur fait pour le personnage... mais il préfère ne pas trop s'avancer. 

"Il y a une envie particulière, mais ce n'est pas moi qui décide. Je n'ai aucune proposition à faire sur cette question. Nous n'en sommes qu'au tout début." confie-t-il à TV Mag.

Paul El Kharrat s'estime favorisé par la production du jeu

Dans son livre Ma 153e victoire, Paul El Kharrat revient sur le sentiment d'avoir été privilégié par la production du jeu, avec des questions plus faciles que ses adversaires, pour le faire gagner en notoriété. 

La star du programme note que "les candidats avaient des questions liées à des études, ou des sondages", tandis que lui avait droit à des questions d'histoire, son domaine de prédilection.

"On peut se poser des questions avec raison, et je pense qu'ils m'ont donné ces questions-là pour que je réponde bien et que je tienne pendant un nombre assez conséquent d'émissions". écrit-il. 

Et de conclure, conscient de sa chance: "Mais en même temps, à titre personnel et purement égoïste, c'est une chose qui était souhaitable pour moi."