Dirty talk : 6 conseils pour parler au lit

Presque tout le monde parle pendant le sexe, en employant des mots doux et crus : c'est le dirty talk. Ça vous donne envie de causer ? Voici 6 conseils avant de faire la parlote au lit, histoire de ne pas faire retomber le désir.

Dirty talk : 6 conseils pour parler au lit
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Je ne me force pas

Parler pour faire plaisir à l’autre : non. Il faut en avoir envie pour se lancer. Et si on n’est pas tout à fait l’aise avec ça, on risque de se marrer ou de prendre une voix d’enfant. Pour un peu de naturel, on ne s’impose pas de l’ouvrir, notre bouche attendra que l’on soit prête. On note que si notre homme nous dit des mots cochons, rien ne nous oblige à avoir le même ton. On peut aimer les entendre, pas forcément les dire.

J’y vais en douceur

On commence par employer des mots tendres ou bien manifester notre plaisir. "J’aime ça", "encore" ou "j'aime tes bras, tes poils" sont très bien pour un début. Oser un "mets-la moi dans la bouche" en guise d’apéritif, ça risque de mettre tout le monde mal à l’aise, surtout si on a l’habitude de faire l’amour dans un nid de douceur et qu’on porte tous les deux des sous-vêtements Minions.

Je m’adapte à la situation

Parfois, on fait l’amour en trois minutes sur la table de la cuisine, à coup de griffes, de petites fessées et de sauvagerie. A priori, on est bonne pour le dirty talk. Parfois, le sexe se fait en douceur, avec des préliminaires longs comme nos quatre jambes réunies, entrecoupés de déclarations d’amour et de tendres baisers. Là, on est bonne pour des mots tendres. Si on veut casser le rythme, on commence par des gestes plus sauvages qui appelleront des paroles plus crues.

Je ne joue pas la maîtresse d’école

Le dirty talk, parler cochon, c’est aussi guider l’autre. "Va plus vite", "descends", "recommence". Communiquer à notre partenaire les sources de notre plaisir, c’est très bien. Mais on ne le fait pas en chaussant ses lunettes, en adoptant un ton autoritaire et en insistant s’il n’ouvre pas le dossier attendu. On réclame avec douceur, au creux de l’oreille et on n’hésite pas à demander en retour : et toi, t’as envie de quoi ?

Je n’en rajoute pas

S’exprimer, c’est bien : manifester son plaisir avec des sons et des "oh oui" booste l’excitation. On n’oublie pas que les cinq sens jouent un rôle. Inutile de trop en faire, le plaisir n’est pas proportionnel aux décibels et aux traits du visage qui racontent trop d’histoires. En rajouter peut éloigner notre partenaire du rapport sexuel, un peu comme on sort d’un film où l’acteur semble faux.

Je m’arrête au bon moment

Parler au lit, ce n’est pas commenter tout le rapport sexuel et l’ouvrir toutes les trois minutes avec des "je t’aime", "encore", "super", "t’es où ?". Un peu comme on aime varier les rythmes, changer de position et changer de sextoy, on module le son. Quelques minutes de blabla pour un peu de silence et ainsi de suite.

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