Pourquoi la mobilité révolutionne la façon d’apprendre ?

A quelques jours de la rentrée scolaire, nos enfants surfent encore allègrement sur leurs tablettes et leurs smartphones. Rien ne laisse à penser qu’ils vont laisser de côté leurs précieux trésors de communication pour se consacrer entièrement à leurs études. Bien au contraire. Et c’est là que l’apprentissage mobile prend tout son sens.

D'ailleurs, les acteurs de la pédagogie l’ont bien compris et l’ont même anticipé, tel le site d’accompagnement scolaire pour lequel je travaille www.maxicours.com, qui propose désormais l’essentiel de ses services sur tablettes et mobiles.

Apprendre où l'on veut, quand l'on veut

Avec la mobilité, nous assistons et participons à une révolution des apprentissages. Nos enfants peuvent désormais apprendre partout et à n’importe quel moment. Pour exemple, pour bien s’organiser dans son travail : un agenda, accessible en permanence, permet d’avoir conscience constamment de son activité, d’être alerté pour un contrôle (avec un système intelligent amenant les ressources pédagogiques à maîtriser pour bien réussir ce contrôle), des devoirs à faire pour le lendemain…

L’accessibilité et la continuité

La mobilité offre également la possibilité d’adapter le type de support au type d’apprentissage. De part ses caractéristiques ergonomiques, le smartphone et la tablette sont conçus pour recevoir de l’information concise, simple et rapide à assimiler. Pour l’apprentissage, on privilégiera donc des ressources telles un lexique, un dictionnaire, des quiz, des synthèses, des vidéos…
Autre intérêt de ces supports : l’accessibilité beaucoup plus rapide que sur un ordinateur.
C’est également la continuité. Si un élève travaille sur un sujet, il doit pouvoir retrouver où il en était de son activité, même s’il change de support.

Interactivité

Il ne faut pas oublier l’intérêt des écrans tactiles, amplificateurs d’interactivité, qui impliquent davantage les enfants dans leurs apprentissages. Si l’on se laisse aller à voir encore plus loin, on peut déjà imaginer l’intégration de la géocalisation et permettre ainsi d’amener des contenus en fonction de l’endroit où l’on se trouve (cours de géographie, d’histoire, d’histoire de l’art…). Imaginez aussi avec une application de reconnaissance vocale pédagogique : « Je veux connaître le théorème de Thalès », la réponse nous serait donnée dans l’immédiat.
Enfin, il ne faut pas négliger l’aspect ludique. Avec une tablette ou un smartphone en main, l’enfant n’a pas vraiment la sensation de travailler et il prend plaisir, assurément.
Une révolution de l’apprentissage ? Sans nul doute.